Commencer sa généalogie simplement

Publié le par Aurore Holmes

Commencer sa généalogie simplement

Avant d’entreprendre des recherches de cousinage par le biais de la généalogie génétique, ce qui constitue notre approche essentielle, nous débuterons, grâce à des outils simples, notre arbre généalogique, car ces deux domaines généalogie et génétique se complètent et nous épargnent de multiples erreurs d’interprétation.

Nous n’aborderons pas pour l’instant les cas des pupilles de l’Etat ou des enfants placés, les recherches étant très complexes. Par contre, les analyses génétiques constitueront un atout pour cerner avec certitude les origines « ethniques ».

(Pour la période postérieure à 1940, les dossiers des pupilles confiés aux services de l’Etat sont versés aux Archives départementales – section 3X - par le service de l’Aide Sociale à l’Enfance du département (A.S.E.). Les dossiers les plus anciens remontent à 1941 On peut donc trouver parmi ces dossiers, ceux concernant les enfants nés au plus tôt en 1920, la majorité étant à cette époque fixée à l’âge de 21 ans.)

 

Un bloc-notes et un stylo suffisent.

On peut également installer sur son ordinateur un logiciel gratuit de généalogie, par exemple Gramps ou Ancestris en suivant attentivement les conseils sur la configuration nécessaire et les étapes d’installation.

Les recherches débutent donc avec son livret de famille, les états civils (naissance, mariage, décès) des proches de la famille et les questions posées sur l’histoire des générations précédentes (origines, métier, migrations, livrets militaires, photographies, etc…).

Les actes paroissiaux, baptême, mariage et sépulture apportent également de précieux renseignements, particulièrement les actes de mariage qui détailllent les identités des parents des époux, leurs lieux de résidence, liste les enfants conçus avant le mariage, donnent parfois des informations sur les professions des mariés et de leurs témoins.

Les signatures ou leurs absences apportent des indices sur l’éducation des personnes présentes lors de la cérémonie.

Les mairies et les archives départementales constituent donc les principaux lieux de recherches, sur place ou en ligne.

 

http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/recherche.php?territoire=GUADELOUPE

http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/recherche.php?territoire=GUYANE

http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/recherche.php?territoire=MARTINIQUE

http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/recherche.php?territoire=REUNION

 

Les actes d’individualité ou des nouveaux libres : ce son les actes d’attribution de patronymes qui se sont déroulés entre 1848 et 1850.

Un site incontournable, fruit d’un immense travail de l’association CM98, concernant la Guadeloupe et la Martinique. Ce site permet de retrouver les noms des personnes affranchies à partir de 1848, année de l’aboliton de l’esclavage.

http://www.anchoukaj.org/

Guadeloupe :

https://www.archivesguadeloupe.fr/   Le site est toujours en construction.

Martinique

https://www.patrimoines-martinique.org/

Réunion

https://www.departement974.fr/sites-culturels/index.php/Archives/pr%C3%A9sentation-archives/registres-daffranchissement-de-1832-et-registres-speciaux-de-1848.html

 

 

 

 

 

 

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